Comment survivent les abeilles en hiver ?

Le mode de vie de chaque insecte n’est pas le même. C’est le cas même pour les abeilles, en période de floraison ? Que deviennent-ils ?

L’hibernie est l’un des moyens permettant à la majorité des abeilles de survivre en période hivernale. Pourtant, il y a certaines abeilles qui ont un mode de vie différent. Les températures trop élevées peuvent leur sembler insupportables, c’est pourquoi, les abeilles doivent trouver de moyen pour survivre.

La nécessité d’avoir des abeilles domestiques

En période d’hiver, la majorité des abeilles vont mourir. On fait donc appel à l’abeille domestique pour assurer la continuité de vie des insectes utiles. Ce sont des conditions essentielles à la pollinisation et il ne faut pas la négliger.

On procède donc à la pollinisation de certaines abeilles dites des abeilles domestiques. C’est une solution très pratique.

Rappel sur ce qu’est l’abeille

L’abeille est un insecte utile, il appartient à l’ordre le plus important de l’animal. Les abeilles sont hyménoptères c’est-à-dire qu’il rassemble plus d’un million d’espèces. Ils forment en général 20 000 espèces d’abeilles dont la plupart se trouve en France. On compte même jusqu’à un millier d’espèces d’ abeilles en France.  Si cela n’est que 2000 espèces dans tous les Europe. A chaque espèce d’abeille, il y a un mode de vie différent.

L’hivernage et l’hibernage de l’abeille

L’hibernation est un type d’ animaux qui a un pouvoir d’abaisser la température de son corps à des températures très basses. Il consiste également à freiner les nombres des battements du cœur. Toutefois, le rythme respiratoire est concerné.

Les abeilles hibernent-elles ? La réponse, c’est oui, l’abeille hiberne mais seulement l’abeille de type solitaire. Cette hibernation de l’abeille se trouve entre le mois d’octobre jusqu’à l’avril, période chaude.

C’est grâce à cette hibernation que la majorité de l’abeille solitaire peut survivre. Les abris de ces abeilles sont en général sous un tas de feuilles mortes, d’autres dans un trou de terre. Certaines abeilles solitaires même mettent leur abri dans la cavité des arbres.

Il a essayé de survivre durant les six mois de saison d’hiver. Alors que ces abeilles ne sont pas vraiment utiles. C’est plutôt l’abeille domestique que nous appelons hiverne, il produit de bon miel. C’est un miel de qualité que nous trouvons tous les jours.

Ce que font les abeilles domestiques en période d’hiver

Pendant la période de l’hiver, les abeilles domestiques restent actives. Mais pour assurer sa survie, l’apiculteur doit le mettre dans les endroits isolés. Mais ce n’est pas tout, il faut avoir une bonne réserve de miel pour la survie de l’essaim.

Il y a deux types d’abeilles émis par la reine tous les ans, l’abeille d’été et l’abeille de l’hiver. Ils n’ont pas tous les deux la même fonction. Le premier survole à l’extérieur de la cage afin de butter le nectar de fleur nécessaire pour son activité à l’intérieur de la cage.

Par contre, l’abeille de l’hiver reste dans la cage, il assure la survie de chaque abeille surtout de la reine. L’abeille d’été vit aussi longtemps que les abeilles d’hiver.

Quelle race de lapin vit le plus longtemps ?

Les lapins font partie des animaux qui promettent une durée de vie assez longue. Mais, cela dépend également de sa race. Ces petites boules de poils peuvent se présenter sous différentes races. Pour connaître la durée de votre lapin, vous devez en savoir plus sur son type. Quelle race de lapin vit le plus longtemps possible ? 

Le lapin nain

Parmi les différents types de lapin, le lapin nain est considéré comme le plus robuste. En effet, il promet une durée de vie entre 8 ans à 12 ans. Certains peuvent même atteindre jusqu’à 14 à 15 ans. Même s’il fait partie des races les plus petites, il est aussi coriace que les autres. Mais, pour qu’il puisse atteindre cet âge, il a besoin d’un bon nombre de soins et beaucoup d’amour. Sachez que ce n’était pas le cas, il y a 30 à 40 ans. 

Les lapins ont commencé à avoir une durée de vie plus longue depuis quelques années. Et cela grâce aux soins qu’on les apporte. Pour que vous puissiez profiter de la durée de vie de votre boule de poils, pensez à l’emmener chez un vétérinaire en cas de problème. Il serait aussi important de bien choisir ses aliments. Essayez de demander l’aide d’un spécialiste pour en savoir plus sur les nourritures adaptées à votre lapin nain.

Le lapin de compagnie

Le lapin de compagnie fait également partie des races de lapin qui vivent assez longtemps. Il vit en moyenne entre 8 à 12 ans. Certains qui vivent dans des conditions bien adaptées promettent même une durée de vie entre 18 à 20 ans. Contrairement aux autres types de lapin, il est à la fois chouchouté et entretenu. C’est pour cette raison qu’il présente une durée de vie exceptionnelle.   Et si vous tenez à prolonger la durée de vie de votre lapin de compagnie, on vous recommande également d’en prendre en soin. C’est la meilleure solution.

Le plus important est de l’emmener de temps en temps chez le vétérinaire. Vous pouvez aussi prendre soin de votre boule de poils en lui offrant des jouets pour lapin. Tout comme avec le lapin nain, un lapin domestique a besoin qu’on surveille ses nourritures. Il serait important de ne pas donner de sucreries à votre compagnon. Cela dans le but d’éviter les risques d’obésité.

Le lapin garenne

Il y a aussi le lapin garenne qui promet une durée de vie prolongée, mais pas assez, pour défier la longévité des lapins nains. Cette boule de poils peut survivre jusqu’à 2 à 3 ans environ. Les lapins garennes sont des lapins sauvages. Ils vivent dans la nature. Ainsi ils sont exposés aux prédateurs et aux maladies. Ce qui explique cette durée de vie qui est assez courte par rapport aux autres types de lapin.

Mais, certains lapins garenne peuvent échapper à cette règle. En effet, ils peuvent avoir une espérance de vie de 9 à 10 ans. Cette race de lapin peut tout à fait être domestiquée. Afin de garantir sa durée de vie, vous devez lui offrir des nourritures saines tels que :

  • –       Des plantes herbacées
  • Des carottes
  • D’écorces d’arbrisseaux
  • De racines
  • De plantes cultivées

Des émissions de gaz à effet de serre causées par le Bétail dans le Gers

Les gaz à effet de serre émis par le bétail, qui représentent environ 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, augmentent rapidement sur notre planète. Le bétail libère du méthane par les microorganismes impliqués dans le processus de digestion animale et de l’oxyde nitreux par la décomposition du fumier. Jacques François, soigneur animalier et agriculteur, ainsi que le professeur Louis Bonin du Groupe ont estimé les émissions de gaz à effet de serre dues à 11 types de bétail, liées à 237 pays et publiées dans la seconde moitié du siècle, et ont constaté que globalement de 1961 à 2010, ces émissions ont augmenté de 51%.

74 % des émissions mondiales sont causées par le bétail. Ceci est principalement dû à l’abondance des vaches laitières mais aussi à la grande quantité de méthane et d’oxyde nitreux émise par les bovins de boucherie par rapport aux autres animaux. Les moutons représentent 9%, les buffles 7%, les porcs 5% et les chèvres 4%. « D’un point de vue environnemental, il serait préférable pour la population humaine de suivre davantage l’exemple du régime méditerranéen, riche en glucides et en légumes, limitant l’utilisation de la viande. Cependant, une amélioration serait également possible si la viande de porc et de poulet était préférée à la viande de veau « , conclut Jacques François.

On s’attend à ce que la croissance continue d’augmenter à mesure que la demande de produits de l’élevage tels que la viande, le lait et les œufs doublera d’ici 2050. L’équipe de recherche a constaté qu’il y avait une grande différence entre les émissions des pays en développement, qui sont les principaux responsables de cette augmentation, et celles des pays développés, qui ont atteint leur plus haut niveau d’émissions dans les années 1970, puis ont diminué jusqu’à aujourd’hui. « Le dioxyde de carbone émis par l’utilisation de combustibles fossiles et la déforestation représente la plus grande partie des gaz à effet de serre qui ont un effet sur le changement climatique – explique M. Caro de l’Université de Sienne – mais le méthane et l’oxyde nitreux, les substances produites par le bétail, représentent environ 28% de la contribution au réchauffement planétaire. Alors que le processus de développement mondial conduit à une réduction des émissions d’un seul animal, il y a aussi une forte augmentation de la demande de viande et d’autres produits animaux. En conséquence, ces émissions de gaz continuent d’augmenter de façon spectaculaire sur notre planète.